Le phoenix bec-en-sabot du nil

Et si les phoenix n’étaient pas toujours visuellement des aigles ? Imagine, un phoenix canaris, un phoenix chouette, un phoenix pigeon … Tellement de possibilités.

Détails techniques

Logiciel(s) : Photoshop
Taille du document : 29,7 x 21 cm (5847 x 4134 px), 500dpi
Temps :
1h20
Inspiration(s) musicale(s) : Blackbriar – Mortal remains

Détail(s) et inspiration(s) :

Il y a quelques années j’étais tombé sur cette excellent poste qui imaginez différentes formes de Phoenix possible. C’est le  » no thanks  » qui m’a bien entendu le plus plu à l’époque, vu que les Shoebills sont mes oiseaux préférés (c’est des dinos sur patte). Je sais pas pourquoi en décembre j’y ai repensé et j’ai voulu en peindre rapidement un. Peindre en rouge est pas quelque chose que je fais souvent, donc c’est toujours fun.

J’ai aussi décidé de le peindre sur un seul calque, parce que j’aime les challenges. Non, en vrai la véritable raison c’est que je voulais gagner du temps en ne naviguant pas dans des calques. Des fois ça repose.

1. J’ai mis le calque en noir et avec un brush aquarelle en opacité réduite j’ai mit du rouge dans le fond, je voulais juste éviter de rendre aveugle les gens avec le contraste rouge/noir.
Je me suis fait une mini-palette dans une zone noire, en teinte de rouge, orange et jaune.
Avec un rouge j’ai fait le croquis original du shoebill. J’ai gardé les proportions du véritable oiseau.
J’ai ensuite peint rapidement les couleurs, en teinte d’orange principalement avec des touches de jaunes/crèmes et de rouge.

Le but était d’avoir rapidement une idée des formes et couleurs, sans que ça soit propre. Ce qui donne une bonne base de peinture pour après.

2. En zoomant, je suis revenu avec mon brush en opacité réduite revoir tous les contours pour nettoyer les formes et de manière générale, peindre pour réduire la largeur des lines (voir les faire disparaître), lisser les couleurs entre elles et une fois que cela me plaisait, faire la texture des plumes.

J’ai en fait peint sur les couches précédentes jusqu’à ce que le résultat me plaise, en partant de la tête et descendant en suivant le corps. J’ai touché que rapidement aux ailes pour le moment.

3. J’ai finalement peint les ailes, toujours avec la méthode rapide précisée au-dessus.

Le résultat reste rapide, je ne voulais pas passer trop de temps sur cette peinture, je voulais qu’elle reste fun à faire.

Une fois que j’ai décidé que c’était fini, j’ai un peu corrigé la colorimétrie pour faire ressortir plus les rouges.

Drôle d’oiseau

Comme pour pas mal d’animaux que j’adore, je saurais pas dire ce qui m’a fait faire une fixation sur cet oiseau. J’en ai même encore jamais vu en vrai. Je sais juste que j’adore voir des photos ou vidéos de l’espèce qui est trop généralissime.

J’en ai déjà fait pas mal de croquis par le passé, j’en ai même peint un sur mon téléphone, mais c’est la première fois que je choisis un shoebill pour en faire une peinture semi-sérieuse. Des fois les sujets simples ça détend graave. Zéro regret.

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